mercredi, février 02, 2005

Crépi décrépi

Là, on est loin de l'oxymore et plus dans le jeux de mots. Ca va, d'ailleurs, être le jour de jouer sur les mots ; des mot où se retrouvent les mêmes trois ou quatres lettres.

Comment entrebailler la porte permettant d'entrer dans le vif du sujet sinon en tournant autour de sa poignet afin de retarder encore un peu cet affrontement forcément dorsal ? Tiens : un oxymoron ?

Nous sommes le 2 février et c'est la Chandeleur.
Et que cuisine-t-on en ce jour ? Gagné : des crêpes !

Or donc, tout le monde a entendu parler des C.R.E.P.S., si non, voici un second lien pour mieux les connaître.

Pourquoi mentionner le CREPS hormis pour le plaisir de retrouver ces lettres ? N'est-ce pas là que sont formés les professeurs de sports devenus professeurs d'éducation physique et sportive ? Le CREPS est ou était leur IUFM, en gros ; je me trompe ?

Et, avant que d'entrer dans le vif du sujet – l'enseignement de l'informatique à l'école -, je voudrais mentionner, en deux mots, les Professeurs de la Ville de Paris (PVP).

Lorsque je mentionne, je lie ; donnant ainsi la parole à des gens plus compétent que moi. Voici un lien parlant des professeurs d'éducation physique et sportive, un autre pour les professeurs d'éducation musicale. Sur le même site, je ne trouve rien – ce jour – pour les professeurs d'art plastique.

Ces trois disciplines sont, à Paris, dans les écoles publiques (classes primaires : CP-CM2), dispensées par des PVP, salariés par la Direction des affaires scolaires (DASCO) de la Ville de Paris (Mairie du même nom).

Qu'en est-il partout ailleurs en France ? Existe-t-il des PVB à Bordeaux ou Bayonne ; des PVL à Lille, Lens ou Lyon ; des PVM à Marseille, Montpellier ? Et dans les écoles des villages lorsque les classes n'y ont pas été supprimées ?

Comment ça fonctionne en dehors de la capitale ? Je sais : au moment où de plus en plus de services publics sont privatisés, ce n'est pas l'endroit de poser cette question. Trop tard ...

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