lundi, mai 16, 2005

Silences assourdissants

Je dédie ce dernier lot de réponses à mon Questionnaire à Mathilde et Michelle qui se reconnaîtront. Les événements s'accélèrent et les temps ne sont plus aux néo-statistiques. Je ferais un bilan des trop rares réponses reçues ; mais pour le moment, place à nos deux dernières interlocutrices ; Emilie et Clémence.

Emilie

Entre 1990 et 2005, vos enfants - ou vous mêmes - ont fréquenté :

De la MMS au CM2, dans une Ecole Publique

La classe que vous avez mentionnée était équipée :
d'un ou plusieurs ordinateurs en fond de salle : oui
l'école possédait une salle informatique : oui
les enfants se rendaient avec leurs maîtres dans un atelier informatique en dehors de l'établissement : non

Nom de la ville ou du village où se trouvait cette école : Osny 95520

Votre prénom : Emilie

Clémence

Entre 1990 et 2005, vos enfants - ou vous mêmes - ont fréquenté :

une classe du Primaire : CM2

Dans une Ecole Privé (sous contrat)

La classe que vous avez mentionnée était équipée :
d'un ou plusieurs ordinateurs en fond de salle : oui
l'école possédait une salle informatique : oui
les enfants se rendaient avec leurs maîtres dans un atelier informatique en dehors de l'établissement : non

Nom de la ville ou du village où se trouvait cette école : Agen 47006

Votre prénom : Clémence

Vif du sujet

Dans son billet d'hier, Promenades, Olivier semblait annoncer une fin proche de ses activités professionnelles. Même s'il n'est pas fonctionnaire, Olivier ne peut pas trop parler de ce qui arrive à ses collègues et à lui même.

Mais, si elle n'est pas publique, la nouvelle serait des plus exactes et recouperait une rumeur entendue ailleurs en ce lundi rendu bâtard par un gouvernement incompétent.

En l'occurrence, ce n'est plus du gouvernement dont il serait question ; mais de la Mairie de Paris, qui - à moins que je n'ai rien compris à la politique en France - est du bord opposé. Cela n'empêcherait pas cette mairie de couler un service salariant, disons, plus de trente personnes, sans se soucier des risques qu'elle fait, du coup, courir à un ou deux autres organismes, eux-mêmes employant une centaine de personnes.

La rumeur dont je parlais concerne d'autres salariés plus directement liés à la Mairie de Paris.

En effet, si la Direction de la Jeunesse et des Sports fait travailler des Associations ; la Direction des Affaires Scolaires, en la personne des Professeurs de la Ville de Paris (éducation physique, musicale et art plastique dans les écoles primaires), emploie des fonctionnaires municipaux. Je me trompe ?

Et bien ceux-ci (les PVP) risquent fort de suivre, un an après, le chemin parcouru par les animateurs informatique qui passèrent, d'une association à une autre lors d'un Marché public, à savoir : passer de leurs enseignements scolaires à des ateliers ouverts à un public payant. Avant de se retrouver, moins de 12 mois plus tard, sur le marché du travail ; demandeurs d'emploi.

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